Notre actualité
RECHERCHE : Les exclusions vécues par les enfants – L’exclusion scolaire définitive
M. Coenen, Ligue des droits de l'Enfant Yannick va nous parler de l’exclusion scolaire définitive. Il n’est pas concerné par cette problématique mais Yannick va prendre la parole au nom des jeunes concernés pour qui la souffrance était trop forte pour venir vous en...
RECHERCHE : Les exclusions vécues par les enfants – L’exclusion scolaire des enfants malades
Témoignage de Steve Bonjour ! Je m’appelle Steve. J’habite à Laeken. Je vis avec mes parents. J’ai 2 frères et 2 sœurs. Je suis inscrit à l’Athénée R. Je suis en 5ème année, en (enseignement) général : j’ai choisi, comme option, « langues ». J’ai...
RECHERCHE : Les exclusions vécues par les enfants – L’exclusion des enfants handicapés de l’enseignement ordinaire
Témoignage de Myriam et Ysaline Leroy Bonjour, je vous présente Ysaline, Comme vous le voyez, elle est porteuse de trisomie21 mais, malgré son handicap, elle était scolarisée dans l'enseignement ordinaire depuis qu'elle a deux ans et demi. J’ai eu la chance de trouver...
RECHERCHE : Les exclusions vécues par les enfants – L’échec scolaire
Anaïs représente le jeune qui a rédigé le témoignage et qui n’a pas voulu s’exprimer en direct. Ce témoignage a été recueilli par le service « Episode » Témoignage de Christelle T. Bonjour, Je m’appelle Christelle et j’ai maintenant 17ans et demi. Je suis...
RECHERCHE : Les exclusions vécues par les enfants
Pourquoi faire une étude en organisant un colloque sur les exclusions ? Ceux qui connaissent la Ligue et qui nous soutiennent depuis pas mal d’années savent que nous sommes plutôt actifs dans « l’accueil de tous à l’Ecole ». Maintenant, on utilise plutôt le terme d’«...
La « troisième vie » de l’enseignement spécialisé
Vers une école inclusive pour les élèves à besoins spécifiques - Professeur émérite Ghislain Magerotte - UMons Les années 60 : naissance et développement de l’enseignement spécial Si les enfants ayant des déficiences sensorielles ou mentales ont été...
Le redoublement – Conclusions : Arrêtons la maltraitance !
Le redoublement est avant tout un choix. De nombreux systèmes scolaires l’utilisent au compte-gouttes, uniquement quand il on peut espérer qu’il soit efficace (longue absence pour cause de maladie, par exemple). C’est un choix politique ! Mais c’est aussi le choix personnel de chaque professionnel de l’école. « Suis-je un dieu qui peut décider de l’avenir d’enfants et de jeunes et donc ne transmettre les savoirs qu’à celles et ceux qui me semblent les plus dignes, ou ma mission est-elle de transmettre des savoirs à toutes et à tous sans la moindre exception et ce, quelles que soient les difficultés d’apprentissages rencontrées par ces élèves ? »
Le redoublement – Chapitre 6 : Comment font les pays qui limitent le redoublement ?
La comparaison des différents systèmes scolaires des pays de l’OCDE a montré une grande variété de pratiques visant à donner une seconde chance à l’élève en difficulté. Nombreux sont les pays pour lesquels les résultats de fin d’année sont décisifs pour le passage en classe supérieure[1] qui ont mis en place des dispositifs offrant une seconde chance. D’autres ont organisé la scolarité de manière à rendre moins naturel l’usage du redoublement[2].
Le redoublement – Chapitre 5 : Au contraire, le redoublement est contre-productif
Le redoublement est du « prêt-à-porter » là où il faudrait du « sur mesure »[1]. Le redoublement n’est jamais que le résultat de l’échec d’un système, d’une école (et donc des humains qui y travaillent) qui, pour des raisons diverses et variées n’a pas voulu ou pas su transmettre les savoirs qu’il a mission de transmettre, à tous les élèves. On sait la doxa[2] qui règne dans les salles de profs : « On ne peut pas faire réussir tout le monde », « Si un élève est en échec, c’est parce qu’il n’a pas étudié », « Un prof qui fait réussir tout le monde est laxiste », « Si tu n’as pas ta courbe de Gauss, c’est que tu es mauvais professeur », etc[3]. Mais passons sur le refus de certaines « bonnes » écoles de faire réussir[4] tout le monde, et voyons pourquoi ces professeurs n’ont « p)as pu » transmettre ces savoirs.