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Queer Mais Trash : séance scolaire d’une projection de films LGBTQIA+ (Analyse)

Queer Mais Trash : séance scolaire d’une projection de films LGBTQIA+ (Analyse)

Nous allons voir comment un festival « qui ose” a décidé d’aborder le public scolaire en même temps que l’univers cinématographique LGBTQIA+, féministe et intersectionnel[3]. La manière dont le festival a fait ses démarches auprès des écoles et la manière dont elles ont réagi, tant à l’invitation qu’à la projection des films.

Ecole : Les Filles et garçons ont-elles/ils les mêmes chances d’avenir professionnel ?

Ecole : Les Filles et garçons ont-elles/ils les mêmes chances d’avenir professionnel ?

Nos enfants auront-ils les mêmes chances que les autres dans la vie ? Cette question nous est souvent posée par des familles qui nous téléphonent pour leur venir en aide et/ou les conseiller face aux décisions de certaines écoles fondamentales où est scolarisé leur enfant. Il nous arrive aussi de participer à des rencontres organisées par des écoles de devoirs ou des maisons de quartier, afin d’expliquer l’Ecole (le système scolaire) et questionner son « efficacité ».

Table-Ronde : Comment devenir une Ecole Pour Tou.te.s ?

Table-Ronde : Comment devenir une Ecole Pour Tou.te.s ?

Lorsqu’on parle généralement d’éducation inclusive, on pense essentiellement à y inclure les élèves en situation de handicap. Mais il est un public trop souvent oublié parce que caché, ce sont les jeunes LGBTQI+. L’école est trop souvent un lieu de souffrance pour ces jeunes, mais pas que pour eux/elles. Le nombre de jeunes victimes de LGBT-phobies dépasse largement le nombre de jeunes LGBTQI+. Cela touche également des jeunes qui sortent des stéréotypes de genre, que ce soit par leur habillement, leur manière d’être, ou parce qu’ils·elles sont timides, n’ont pas de relation amoureuse connue, ou parce que la « rumeur » les a catalogué·e·s. Il en va de même pour les enfants vivant dans les familles homoparentales ou ayant un parent homosexuel.

Aidez-nous à militer pour…

Aidez-nous à militer pour…

Notre commission LGBT+ a besoin du soutien de citoyens et citoyennes motivé·e·s afin de renforcer notre projet « Ecoles pour tou·te·s ». Les Ecoles pour Tou·te·s peuvent être des outils puissants, d’une part, de prévention de l’ignorance et des crimes haineux, d’autre part, de promotion de la libre expression, de la tolérance, de la reconnaissance, de la sécurité, du respect, de la dignité et de l’égalité entre tout·e·s.

La Ligue, c’est vous !

La Ligue, c’est vous !

Nous recherchons des bénévoles qui veulent agir pour les Droits de l’Enfant en Fédération Wallonie-Bruxelles. Vous avez quelques heures de libres en journée ? Rejoignez-nous et participez à l’orientation de notre politique d’actions collectives selon ce qui vous parle le plus : LGBTQI+, école, primo-arrivant.e.s, santé/environnement, inclusion ou égalité de genre.

Enseignement : Les discriminations basées sur le genre

Enseignement : Les discriminations basées sur le genre

Plus de vingt ans après que l’immense majorité des écoles soient devenues mixtes, plus guère personne ne s’interroge sur l’efficacité de la mesure et sur les effets que celle-ci a eue sur les élèves, filles, et garçons[1]. Hormis le problème de la genrisation des cours de récréation où les garçons continuent à occuper l’espace central et relèguent la majorité des filles – et des garçons plus calmes – aux abords, tout a l’air de bien se passer dans nos classes et nos écoles entre élèves de genres différents.

LGBT-Phobies à l’école

LGBT-Phobies à l’école

De nombreux·ses élèves, qui ne se sentent pas LGBTQI+[2], ne sont pas conformes aux stéréotypes de genre, de par leur façon de s’habiller, de se coiffer, de parler, leur attitude, ou par timidité, absence de relation sentimentale connue ou simplement à cause du « on-dit ». Ce sont des élèves non-conformes à une prétendue « normalité » que l’école n’a pas pris le temps de déconstruire ou, pire, a participé à son ancrage dans l’inconscient des élèves. Par exemple, par le règlement des études qui, au pire des cas, fixe la ou les coiffures acceptées, de même que les tenues vestimentaires, rejetant par-là-même les élèves dissonnant·e·s et les soumettant ainsi à la raillerie, aux moqueries et insultes, voire au coups d’autres élèves homophobes ou transphobes.

LGBT-Phobies à l’école

LGBT-Phobies à l’école

« Dans notre société, les LGBT-phobies sont en progression. Il n’est pas une semaine où les réseaux sociaux ne relaient des agressions homophobes. La plupart des agressions homophobes sont le fait de jeunes gens. Ces jeunes ne sont pas sorti·e·s du système scolaire depuis des décennies, mais visiblement, et quelqu’ait été leur parcours, ils/elles n’ont pas reçu toute l’éducation nécessaire pour déconstruire leurs croyances ou l’éducation homophobe qu’ils/elles ont reçue, qu’elle soit familiale, sociale, culturelle ou philosophique. On ne naît pas homophobe, on le devient !Seule l’école est en position de lutter contre les représentations homophobes auxquelles ces jeunes ont été confronté·e·s et qu’ils/elles ont intégrées.

COLLOQUE « UNE ECOLE POUR TOU·TE·S » – Les actes (suite)

COLLOQUE « UNE ECOLE POUR TOU·TE·S » – Les actes (suite)

L’objectif de notre colloque était de porter une réflexion sur le « Comment accueillir à l’école toutes les différences liées au genre » ? A termes, nous souhaitons que les écoles soient labellisées « Ecoles Pour Tou.te.s ». Nous avons lancé une invitation à chaque école bruxelloise, de la maternelle à la fin du secondaire. Nous devons constater qu’il est plus que difficile de conscientiser les gens et les mobiliser pour réfléchir ensemble à toutes les problématiques qui tournent autour de la thématique de la transidentité et de l’homosexualité.

Forum : Une Ecole Pour Tou·te·s – Les actes 1

Forum : Une Ecole Pour Tou·te·s – Les actes 1

L’objectif de notre colloque était de porter une réflexion sur le « Comment accueillir à l’école toutes les différences liées au genre » ? A termes, nous souhaitons que les écoles soient labellisées « Ecoles Pour Tou.te.s ». Nous avons lancé une invitation à chaque école bruxelloise, de la maternelle à la fin du secondaire. Nous devons constater qu’il est plus que difficile de conscientiser les gens et les mobiliser pour réfléchir ensemble à toutes les problématiques qui tournent autour de la thématique de la transidentité et de l’homosexualité.

Forum : Homosexualités & transidentités : Où en est mon école ?                             Ou comment devenir une Ecole Pour Tou·te·s.

Forum : Homosexualités & transidentités : Où en est mon école ? Ou comment devenir une Ecole Pour Tou·te·s.

Le 21 novembre, nous appelions toutes les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles à s’impliquer plus activement dans l’accueil des jeunes et des familles LGBT et à combattre l’homophobie à la fois par l’éducation, l’accueil de tous les jeunes et de toutes les familles, quelles que soient leurs identités de genres et leurs orientations sexuelles et en luttant contre toutes les discriminations. Autrement dit, à devenir des « Ecoles Pour Tou·te·s ».

Homosexualités & transidentités : Où en est mon école ?

Homosexualités & transidentités : Où en est mon école ?

Programme du colloque :13.00 – 13.30 : Accueil avec sandwich et boisson.13.45 : Introduction : Jean-Pierre Coenen, Président de la Ligue des Droits de l’Enfant.14.00 : Table-ronde 1 : Témoignages de jeunes et de familles qui ont souffert et/ou rencontré de bonnes pratiques durant leur parcours scolaire. Ils·elles nous feront part de leur vécu, que ce soit de manière positive ou négative, de ce qu’ils·elles auraient souhaité qu’on fasse pour eux.elles ou leurs enfants. 14.40 : Débat avec le public 15.00 : Table-ronde 2 : Nous donnerons parole à des directions, des enseignant·e·s, des associations qui font de la formation et luttent contre les LGBTQI-phobies dans leurs/les écoles, Il·elles nous feront part de ce qui marche, des freins et des réactions positives qu’elles·ils ont rencontrés, de leur vision de l’école LGBTQI+-inclusive. 15.40 : Débat avec le public .16.00 : Conclusion : Jean-Pierre Coenen, Président de la Ligue des Droits de l’Enfant.16.15 : Verre de l’amitié et discussions informelles avec les intervenant·e·s. Lieu : Bruxelles Laïque, avenue de Stalingrad, 18/20 – 1000 Bruxelles

Appel aux écoles : Devenez des Ecoles pour Tou·te·s !

Appel aux écoles : Devenez des Ecoles pour Tou·te·s !

L’école est trop souvent un lieu de souffrance pour les jeunes LGBTQI+, mais pas que pour eux/elles. Le nombre de jeunes victimes de LGBT-phobies dépasse largement le nombre de jeunes LGBTQI+. Elles touchent également – et sans doute en priorité – des jeunes qui sortent des stéréotypes de genre, que ce soit par leur habillement, leur manière d’être, ou parce qu’ils sont timides, qu’ils n’ont pas de relation amoureuse connue, ou parce que la « rumeur » les a catalogué·e·s. Il en va de même pour les enfants vivant dans les familles homoparentales ou ayant un parent homosexuel. Ce sont d’abord ces jeunes qui subissent les discriminations homophobes et le harcèlement. La grande majorité des jeunes LGBTQI+ choisissent, par instinct de survie, de cacher leur orientation sexuelle. Mais s’ils/elles ne sont pas toujours des victimes directes des discriminations homophobes, ils/elles en subissent le poids.

Vers une école « Pour TOU·TE·S » ?

Vers une école « Pour TOU·TE·S » ?

SOS-homophobie (France) datant de 2012[1], la moitié des élèves interrogé·e·s affirme ne pas connaître de personnes homosexuelles (68% pour les garçons), et 58 % n’ont jamais abordé le sujet de l’homosexualité en famille (70% pour les garçons). Dans chaque cas, les réactions de rejet sont en proportion inversée : 36 % de réaction négatives à l’idée de rencontrer une personne homosexuelle pour les élèves qui n’en connaissent pas (contre 10% pour ceux qui en connaissent) et 30% de réactions hostiles (contre 8%) pour ceux qui n’en parlent jamais en famille.

Sur les pavés, l’égalité – Campagne d’Infor-Jeunes Laeken

Sur les pavés, l’égalité – Campagne d’Infor-Jeunes Laeken

Tu as entre 15 et 30 ans et tu partages le constat que l’égalité hommes-femmes dans l’espace public reste à construire…Il est en effet primordial que les filles et garçons puissent jouir de l’espace public en toute tranquillité. Femmes et hommes doivent pouvoir se balader, draguer ou encore s’installer à la terrasse d’un café s’ils en ont envie. Rien ne justifiera jamais le harcèlement de rue dont trop de femmes sont victimes. Pour lutter contre cette inégalité, Infor Jeunes Laeken a mis sur pied la campagne « Sur les pavés, l’égalité ! ».

VIH/SIDA : Si le 1er décembre c’était tous les jours ?

VIH/SIDA : Si le 1er décembre c’était tous les jours ?

Hier encore, un de nos bénévoles s’est rendu dans une école pour rencontrer un groupe de jeunes et parler des identités de genre et des orientations sexuelles. A sa surprise (ou peut-être pas…), les jeunes de moins de 15 ans ont donné des informations complètement faussées. D’abord, le SIDA s’attraperait par la salive… Ensuite est venue la question : comment peut-on voir si nous avons le VIH ou le SIDA ? Et d’ailleurs, quelle est la différence entre SIDA et VIH ?

La commission LGBT de la Ligue des Droits de l’Enfant souhaite une très belle Pride !

La commission LGBT de la Ligue des Droits de l’Enfant souhaite une très belle Pride !

La Ligue des Droits de l’Enfant soutient toutes les démarches inclusives qui visent à l’intégration des enfants et jeunes trans. Nous appelons à une approche inclusive, respectueuse de leur identité, dans tous les lieux où se trouvent les enfants. Nous souhaitons que les familles, les écoles, les mouvements de jeunesse, les clubs sportifs et de loisirs puissent intégrer cette diversité au quotidien.

Le « drame » de l’avortement ? Et si l’Eglise catholique commençait par balayer devant sa porte ?

Le « drame » de l’avortement ? Et si l’Eglise catholique commençait par balayer devant sa porte ?

Prétendre défendre les droits des enfants, sans défendre d’abord celui des femmes, est un attrape-nigaud, une confusion dont l’Eglise est coutumière. Défendre la vie, défendre les enfants, c’est d’abord défendre le droit des femmes et des filles et donc aussi leur droit de décider quand elles veulent avoir un enfant et avec qui. Défendre le droit des enfants, ce n’est pas condamner les femmes à devoir avorter dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Que voulons-nous comme école? Colloque 9 mai 2015

Que voulons-nous comme école? Colloque 9 mai 2015

En Belgique, comme dans les rares pays respectueux des Droits fondamentaux, les familles homoparentales bénéficient des mêmes droits que les familles hétéroparentales. Elles bénéficient donc de l’égalité juridique. C’est en matière d’égalité sociale que le chemin est encore encombré d’innombrables obstacles, notamment dans les lieux d’accueil des enfants. Les familles et les jeunes LGBT se heurtent à la persistance de discriminations et de violences dont l’École n’est pas, loin de là, préservée.

Que voulons nous comme école?

Que voulons nous comme école?

Une Ecole Pour Tous doit accueillir toutes les différences. Nous parlons d’« Ecoles inclusives ». Chaque enfant, quelles que soient ses différences, doit y avoir sa place et pouvoir s’y construire dans le respect et en valorisant la richesse de ses différences.

Avortement

Avortement

Prétendre défendre les droits des enfants, sans défendre d’abord celui des femmes, est un attrape-nigaud, une confusion dont l’Eglise est coutumière. Défendre la vie, défendre les enfants, c’est d’abord défendre le droit des femmes et des filles et donc aussi leur droit de décider quand elles veulent avoir un enfant et avec qui. Défendre le droit des enfants, ce n’est pas condamner les femmes à devoir avorter dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.

Homoparentalité

Homoparentalité

Le débat sur le mariage pour tous a été violent. De nombreux enfants vivant au sein de familles homoparentales ont souffert des manifestations anti mariage pour tous. Tout comme leurs parents, ils ont été stigmatisés ! Le droit à la non-discrimination est un droit de TOUS les enfants !

Contre le voile

Contre le voile

Le voile n’est pas le signe d’une foi mais le signe ostentatoire du religieux le plus archaïque. Il emprisonne la femme car il est la marque de sa soumission. Une société qui a intégré les droits fondamentaux de l’être humain ainsi que les valeurs de liberté, d’égalité entre hommes et femmes et d’humanisme, se doit de combattre les restes archaïques du religieux sous toutes ses formes : voiles, burkinis, excisions et circoncisions, sacrifices, dominations de l’homme sur l’esclave, de l’homme sur la femme, etc.

La Ligue des Droits de l’Enfant est favorable à la Loi permettant aux enfants d’être adoptés  par des couples homosexuels.

La Ligue des Droits de l’Enfant est favorable à la Loi permettant aux enfants d’être adoptés par des couples homosexuels.

Rappelons d’abord, qu’en matière d’adoption comme dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale (art 21 de la CIDE). L’intérêt de l’enfant, tel qu’il a été traduit dans le droit de la Famille se juge au cas par cas. Il n’y a donc pas UN intérêt supérieur pour l’ensemble des enfants abandonnés ou orphelins mais chaque enfant, de par le monde, a un intérêt supérieur spécifique qui dépend de multiples paramètres.

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