Ligne Ecoute Autisme
Ligne Ecoute Autisme (LEA) en Wallonie : un numéro d’appel gratuit, un site internet et bientôt une chatbox.
Besoin d’être écouté, à la recherche d’informations, de ressources ? Depuis le 2 mai 2024, vous pouvez appeler, de 9h à 16h du lundi au vendredi (sauf les jours fériés) LEA (Ligne Ecoute Autisme).
La Ligue des Droits de l’Enfant recrute une coordinatrice ou un coordinateur
Non-remboursement de la logopédie : passons à l’action !
Non-remboursement de la logopédie : passons à l’action ! Rendez-vous au Parlement fédéral jeudi 29 février à 14h.
Contre l’interdiction de manifester
Contre l’interdiction de manifester. Ce 22 février, la Chambre votera la loi. Signez la carte blanche dans le Soir !
La Ligue des Droits de l’Enfant recrute
Nous recherchons un.e candidat.e au poste de coordinatrice.teur dans le cadre d’un contrat ACS de remplacement pour cause de maladie de longue durée.
L’intérêt supérieur de l’Enfant : son droit à la participation – Etude
Récemment, nous avons été confrontés à une hausse des plaintes relatives à l’administration de la justice en Fédération Wallonie-Bruxelles. Les procédures judiciaires traitant de violences intra ou extra familiales dont des enfants sont victimes ou en sont témoins ne semblent pas prendre prioritairement en compte l’intérêt supérieur des enfants. Notamment, en ce qui concerne les décisions de garde ou de placement. Il semblerait, d’après les plaintes que nous recevons, que la Justice n’évalue pas prioritairement l’intérêt supérieur de chaque enfant.
Aidez-nous à militer pour…
Notre commission LGBT+ a besoin du soutien de citoyens et citoyennes motivé·e·s afin de renforcer notre projet « Ecoles pour tou·te·s ». Les Ecoles pour Tou·te·s peuvent être des outils puissants, d’une part, de prévention de l’ignorance et des crimes haineux, d’autre part, de promotion de la libre expression, de la tolérance, de la reconnaissance, de la sécurité, du respect, de la dignité et de l’égalité entre tout·e·s.
Commission éducation
Aidez-nous à agir pour une société inclusive
Depuis 20 ans, notre « Plate-forme pour une École inclusive », avec l’aide de familles et d’acteurs associatifs, porte le combat de l’inclusion au niveau de l’Ecole. C’est un chantier important mais il est insuffisant. Ce sont tous les pans de notre société qui doivent devenir plus inclusifs.
La Ligue, c’est vous !
Nous recherchons des bénévoles qui veulent agir pour les Droits de l’Enfant en Fédération Wallonie-Bruxelles. Vous avez quelques heures de libres en journée ? Rejoignez-nous et participez à l’orientation de notre politique d’actions collectives selon ce qui vous parle le plus : LGBTQI+, école, primo-arrivant.e.s, santé/environnement, inclusion ou égalité de genre.
Adhérez à la Ligue des Droits de l’Enfant
La Ligue des Droits de l’Enfant ne vit que par les cotisations de ses membres et par le colloque/formation que nous organisons chaque année. Or, en 2020, la crise du Covid nous a empêche de planifier cet événement et nos finances en sont largement impactées. Il est donc essentiel pour notre survie que nous ayons des membres (personnes, associations, mouvements, institutions, …) qui, par leur cotisation permettent à la Ligue de survivre. Il est évident que sans ces soutiens, nous ne pourrions plus porter les combats que nous portons depuis des années et qui concernent les enfants les plus fragiles de notre société.
Plate-forme de lutte contre l’échec scolaire
Les membres de la plate-forme de lutte contre l’échec scolaire, soutenus par d’autres associations de la société civile, appellent le Gouvernement et les Pouvoirs organisateurs à baliser strictement la fin de cette année scolaire.
Le commerce équitable, alternative au travail des enfants ?
Le commerce est appelé équitable lorsqu’il ne lèse personne, producteur, acheteur, vendeur, client et environnement. Il s’agit d’un échange économique qui respecte les intérêts des producteurs mais également de tous les acteurs de la chaine et l’avenir de leurs enfants. Les organisations du commerce équitable, regroupées internationalement au sein de FINE[1] ont adopté une définition commune du commerce équitable en 2001 : « Le Commerce Equitable est un partenariat commercial, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial. Il contribue au développement durable en offrant de meilleures conditions commerciales et en garantissant les droits des producteurs et des travailleurs marginalisés, tout particulièrement au Sud. »
Les orientations abusives vers l’enseignement spécialisé d’élèves ne présentant aucun handicap
Cette analyse traite d’enfants orientés vers l’enseignement spécialisé sans que ceux-ci n’aient, à la base, le moindre handicap physique ou intellectuel. Leurs difficultés sont essentiellement sociales : enfants vivant soit en milieux de grande pauvreté ou de quartiers populaires, soit ne possédant pas la langue de l’école, ou ayant besoin de plus de temps pour apprendre, ou pour de multiples autres raisons qui touchent essentiellement à leur statut social. Nous n’aborderons pas dans ce dossier les orientations d’enfants avec handicap ou difficultés spécifiques des apprentissages.
Le travail des enfants en Belgique et ailleurs
Au cours du XIXe siècle, notre pays a encouragé le travail des enfants. Les salaires y étaient tellement bas que les familles devaient envoyer leurs enfants travailler. Il a fallu attendre 1813 pour qu’il soit défendu de « laisser descendre ou travailler dans les mines et minières les enfants en dessous de dix ans ».
La « démission parentale », mythe ou réalité ?
Si la place des parents dans l’institution scolaire a évolué au fil du temps, elle n’a cessé d’être un questionnement pour tous les acteurs éducatifs concernés. Le discours sur la démission des parents est récurrent et vise particulièrement les familles populaires les plus démunies face à la scolarité de leurs enfants.
Le droit aux loisirs et au repos, un droit encore largement méconnu et peu respecté
Sur la liste des droits de l’enfant mal connus ou méconnus, nous pouvons classer le « droit au repos et aux loisirs, de se livrer au jeu et à des activités récréatives propres à son âge, et de participer librement à la vie culturelle et artistique[3] ». Ce constat est général, la plupart des Etats investissent peu dans le respect de ces droits. Le Comité des Droits de l’Enfant de l’ONU précise que « les investissements consentis pour leur donner effet sont insuffisants, la législation visant à les protéger est lacunaire ou inexistante, et les enfants sont, pour ainsi dire, invisibles dans les politiques nationales et locales de planification [4]». Les investissements « ne concernent que l’organisation d’activités structurées et organisées », poursuit le rapport. Ceux-ci oublient trop souvent le temps et les espaces nécessaires à la spontanéité, tant dans les activités récréatives que créatives. En résumé, ces droits sont largement bafoués !
Ecole : La Déclaration de Politique Communautaire inquiète !
La Déclaration de Politique communautaire a déjà fait couler beaucoup d’encre. Nous allons en remettre une couche en approfondissant les sujets déjà abordés tout en ajoutant d’autres, tout aussi importants que les premiers, mais dont on parle moins.
Accueil de la Personne handicapée tout au long de la vie
Au total, nous estimons entre 40 000 et 45 000, le nombre de personnes – et donc également de familles – touchées par la grande dépendance en Communauté française. Au delà des chiffres, nous constatons que les familles doivent se consacrer, dans leur foyer de leurs enfants, par manque d’institutions. Un constat mais aussi une réalité qui désacralise les personnes vivant avec un handicap de grande dépendance.
Une école repense les fêtes des parents
Ces derniers jours, une presse en quête de sensationnalisme et d’abrutissement de la pensée a relayé l’info du siècle : une équipe pédagogique a décidé de respecter la diversité des familles et de ne plus faire de bricolages pour les fêtes des mères et des pères. La famille nucléaire, telle que l’ont inventée les religions, est en partie remplacée par de multiples autres formes. Leurs enfants ne se retrouvent plus toujours dans le discours de l’école, notamment à l’époque des fêtes des pères et des mères ; tout comme les familles qui ne trouvent plus toujours leur place à l’école (pour autant qu’elles l’aient jamais trouvée). Fruit d’une longue réflexion pédagogique, la décision respecte la pluralité des familles et la réalité des enfants. La Ligue des Droits de l’Enfant apporte son soutien à cet établissement qui, comme d’autres trop rares, pense au quotidien à l’accueil de la diversité des familles et des enfants qu’elle accueille. Voici notre réaction :
Face au gouvernement des ultra-riches, ensemble pour résister
Dans tous les domaines, le Gouvernement Michel – De Wever fait des choix profondément injustes, alors que des alternatives existent, plus justes et plus efficaces.
Le « drame » de l’avortement ? Et si l’Eglise catholique commençait par balayer devant sa porte ?
Prétendre défendre les droits des enfants, sans défendre d’abord celui des femmes, est un attrape-nigaud, une confusion dont l’Eglise est coutumière. Défendre la vie, défendre les enfants, c’est d’abord défendre le droit des femmes et des filles et donc aussi leur droit de décider quand elles veulent avoir un enfant et avec qui. Défendre le droit des enfants, ce n’est pas condamner les femmes à devoir avorter dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.
Avortement
Prétendre défendre les droits des enfants, sans défendre d’abord celui des femmes, est un attrape-nigaud, une confusion dont l’Eglise est coutumière. Défendre la vie, défendre les enfants, c’est d’abord défendre le droit des femmes et des filles et donc aussi leur droit de décider quand elles veulent avoir un enfant et avec qui. Défendre le droit des enfants, ce n’est pas condamner les femmes à devoir avorter dans la clandestinité avec tous les risques que cela comporte.
Pauvreté
Le ministre de l’emploi, Kris Peeters (CD&V – parti catholique flamand) a décidé de faire des économies sur le dos de ceux qui sont le plus dans le besoin : les chômeurs. Ce sont les proies les plus faciles. Tout cela pour récupérer 6 tout petits millions d’euros, alors que la fraude patronale – celle des vrais décideurs de la politique belge – atteint plus de 350 millions par an, et que les « rulings » luxembourgeois et suisse ont permis à des centaines d’entreprises et de familles trop fortunées d’économiser « des milliards d’euros » aux dépens du trésor public belge et, donc, de chaque citoyen. Surtout des plus fragiles !
Refus de droits
Le 20 novembre 1989 l’ONU votait la Convention relative aux droits de l’Enfant à l’unanimité. Celle-ci affirme que les enfants ont besoin d’une protection et d’une attention particulière en raison de leur vulnérabilité. Il est temps de se demander ce que ces droits ont apporté aux enfants de notre planète et plus spécifiquement de notre Communauté française ?
Droits et devoirs ?
Cette réflexion nous la rencontrons constamment à la Ligue des Droits de l’Enfant, dans notre action quotidienne. Déjà, en 1991, alors que la Belgique venait à peine de ratifier la Convention et que nous allions dans les écoles au devant des enseignants pour les inviter à faire connaître la CIDE auprès des premiers concernés, nous nous entendions souvent répondre « Les droits de l’enfant c’est très bien, mais qu’on leur apprenne d’abord leurs devoirs ». Aujourd’hui encore, dans certains milieux mal informés, on continue à penser de la sorte. En 2007, un Groupe de prétendus experts chargé du pilotage de la Coordination de l’aide aux victimes de maltraitance se positionnait (LE SOIR du lundi 19 novembre 2007) pour l’ajout d’un 55e article à la CIDE qui préciserait que l’enfant a droit d’avoir des devoirs. Et bien, posons donc la question avec eux : « Pourquoi seulement des droits et pas des devoirs ? »
Arcelor Mittal : des milliers d’enfants touchés ! Toute fermeture se fait toujours sur le dos des familles
Arcelor Mittal jette des milliers d’enfants dans la précarité sans le moindre état d’âme. La Ligue des Droits de l’Enfant rappelle que toute fermeture d’entreprise se fait toujours sur le dos des familles. En supprimant plus de 3 000 emplois directs et indirects, ce ne sont pas moins de 12 000 personnes qui se trouvent précarisées, dont la moitié d’enfants et de jeunes.
Fermeture d’ArcelorMittal : des milliers d’enfants touchés !
Arcelor Mittal jette des milliers d’enfants dans la précarité sans le moindre état d’âme. La Ligue des Droits de l’Enfant rappelle que toute fermeture d’entreprise se fait toujours sur le dos des familles. En supprimant plus de 3 000 emplois directs et indirects, ce ne sont pas moins de 12 000 personnes qui se trouvent précarisées, dont la moitié d’enfants et de jeunes.
Les Droits de l’Enfant ont 21 ans ? Je n’ai pas vu le temps passer !
Ce 20 novembre marque le 21e anniversaire de la Convention relative aux droits de l’Enfant. Celle-ci affirme que les enfants ont besoin d’une protection et d’une attention particulière en raison de leur vulnérabilité. Il est temps de se demander ce que ces droits ont apporté aux enfants de notre planète et plus spécifiquement de notre Communauté française ?
Coupe du Monde : PANINI prend les enfants pour des pigeons
La Collection PANINI « South Africa 2010 » pour la Coupe du Monde est un miroir aux alouettes. Chaque enfanNous appelons le Gouvernement à profiter de cette opportunité pour mettre en oeuvre une école plus efficace et plus équitable, qui pousse tous les élèves à réaliser les efforts nécessaires pour atteindre le maximum de leurs capacités[1].t devra dépenser plus de 75 euros (soit plus de 3 000 anciens FB) pour compléter ce livret de 74 pages. Les enfants sont des proies faciles pour de telles entreprises. En effet, leur esprit critique est en voie de développement et ils ne sont pas à même de se rendre compte que PANINI profite de leur crédulité afin de leur faire dépenser une somme énorme pour un produit de piètre qualité et de peu de valeur.
Restructuration chez Carrefour : des milliers d’enfants touchés !
Carrefour jette des milliers d’enfants dans la précarité sans le moindre état d’âme. La Ligue des Droits de l’Enfant rappelle que tout plan de restructuration se fait toujours sur le dos des familles. En supprimant 1 642 emplois, ce ne sont pas moins de 6 500 personnes qui se trouvent précarisées, dont la moitié d’enfants et de jeunes.
INBEV
Vous êtes d’abord et avant tout une mère de deux enfants, précisez-vous en introduction de votre conférence de presse. Fort bien ! Mais saviez-vous seulement que les 300 travailleurs à qui vous allez faire perdre leurs emplois sont aussi des mères et des pères. Le souci que vous avez de donner le maximum à vos enfants, sachez qu’ils l’ont aussi. Et s’ils pleurent aujourd’hui, ce n’est pas tant sur leur sort que sur celui de leurs enfants.
Contre le voile
Le voile n’est pas le signe d’une foi mais le signe ostentatoire du religieux le plus archaïque. Il emprisonne la femme car il est la marque de sa soumission. Une société qui a intégré les droits fondamentaux de l’être humain ainsi que les valeurs de liberté, d’égalité entre hommes et femmes et d’humanisme, se doit de combattre les restes archaïques du religieux sous toutes ses formes : voiles, burkinis, excisions et circoncisions, sacrifices, dominations de l’homme sur l’esclave, de l’homme sur la femme, etc.
BHV au frigo ? Et si on enterrait le communautaire à jamais ?
Depuis des décennies, les problèmes communautaires empoisonnent la politique et la vie sociale. Ils ont poussé des gens que tout devait rassembler à ne plus voir en l’autre qu’un étranger, un concurrent, un ennemi, celui qui veut le mal. Notre fédéralisme est bâti sur le rejet de l’autre. Il doit, au contraire, devenir source de rapprochement.