Notre actualité
Les additifs alimentaires : De l’importance d’en protéger nos enfants
Dans son film et son livre « Notre poison quotidien », Marie-Monique Robin interroge Philippe Grandjean, professeur de santé environnementale à l’université de Harvard, et son collègue Philippe Ladrigant, de l’école de médecine Mont-Sinaï de New York, qui parlent d’une « épidémie silencieuse » due à la pollution de l’environnement (donc aussi la pollution de la nourriture par les additifs posant problème à la santé et à l’environnement) : Si leur constat concerne les nombreux troubles neurologiques qui touchent les enfants – autisme, troubles de l’attention, hyperactivité, retard mental -, il peut s’appliquer à toutes les autres maladies dont souffrent des centaines de milliers d’enfants nés dans les pays dits « développés », en raison de leur exposition aux poisons chimiques qui peuplent leur environnement, y compris le ventre de leur mère.
La pédagogie universelle
La conception universelle de l’apprentissage (CUA) s’inspire de l’universal design, terme architectural qui, dès le début de sa conception, s’assure qu’un équipement, un environnement ou un lieu soient accessible à toutes et tous[1]. L’objectif est de réfléchir, dès les premiers pas du projet, aux difficultés qui pourraient se présenter aux utilisateurs potentiels. Cela permet d’établir des plans proactifs qui répondent à un besoin avant même que celui-ci ne se manifeste (ascenseur, mains courantes, rampes d’accès, panneaux en braille, etc.).
Les additifs alimentaires : De l’importance d’en protéger nos enfants
La plupart des aliments préparés ou préemballés que nous achetons contiennent des additifs alimentaires, parfois en grand nombre. Ils peuvent avoir des effets extrêmement néfastes pour notre santé. Certains sont cancérigènes, d’autres sont des perturbateurs endocriniens, d’autres enfin sont susceptibles de provoquer des troubles neurologiques.
Ecole inclusive : Intégration ou inclusion, de quoi parle-t-on ?
Lorsqu’on parle d’un processus qui concerne des êtres humains, le terme inclusion n’est guère utilisé en français. Il l’est, par contre dans les pays anglo-saxons, souvent couplé à l’expression éducation inclusive, reprise de plus en plus par les organismes internationaux (Plaisance, Belmont, Vérillon, Schneider 2007). « Une des difficultés dans ce débat réside dans le fait que cette expression, ainsi que celle d’intégration, n’ont pas exactement la même signification dans les différents pays et que chacune d’elles est même parfois utilisée dans plusieurs acceptions. Le terme d’inclusion et celui d’éducation inclusive sont parfois assimilés, en France, à des pratiques d’accueil qui se limiteraient à placer des élèves handicapés en milieu ordinaire, sans aucune réflexion sur les conditions nécessaires à cet accueil. En Angleterre, c’est plutôt sous le terme d’intégration que l’on désigne cette seule présence physique, alors que le terme d’inclusion implique une appartenance pleine et entière à la communauté scolaire. En Italie, intégration est encore couramment utilisé, alors que la politique éducative se place résolument dans la perspective de ce qu’on appelle ailleurs école inclusive. De plus, dans des pays qui ont adopté la terminologie de l’inclusion, comme l’Angleterre, certaines des pratiques continuent pourtant à relever de l’intégration. En France, on préfère parler d’école pour tous. »
LGBT-Phobies à l’école
« Dans notre société, les LGBT-phobies sont en progression. Il n’est pas une semaine où les réseaux sociaux ne relaient des agressions homophobes. La plupart des agressions homophobes sont le fait de jeunes gens. Ces jeunes ne sont pas sorti·e·s du système scolaire depuis des décennies, mais visiblement, et quelqu’ait été leur parcours, ils/elles n’ont pas reçu toute l’éducation nécessaire pour déconstruire leurs croyances ou l’éducation homophobe qu’ils/elles ont reçue, qu’elle soit familiale, sociale, culturelle ou philosophique. On ne naît pas homophobe, on le devient !Seule l’école est en position de lutter contre les représentations homophobes auxquelles ces jeunes ont été confronté·e·s et qu’ils/elles ont intégrées.
Les coûts et les avantages de l’intégration
Une intégration (voire plusieurs intégrations dans une même classe) a des coûts. Ceux-ci peuvent être soit financiers (aménagement de rampes, déménagement d’une classe au rez-de-chaussée, investissements pédagogiques ou matériels, …), psychologiques (charge supplémentaire pour l’enseignant, pour les élèves accueillants qui apporteront leur aide au projet d’intégration, difficultés relationnelles, découverte de la différence, naissance de nouvelles amitiés, satisfaction d’avoir pu porter un enfant différent jusqu’au bout, …) et sociaux. Mais ce sera, plus probablement, un mix des trois.
Une école inclusive : aussi pour les élèves avec une déficience intellectuelle ?
Les défis posés par l’accueil d’un élève avec déficience intellectuelle dans l’enseignement ordinaire.
Pour une école ouverte aux différences de genres
L’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle doit aussi lutter contre les stéréotypes de genre et relatifs à l’orientation sexuelle Introduction Depuis près de 10 ans, la Ligue des Droits de l’Enfant défend les droits des élèves LGBT et de leurs...
Pandémie : pourquoi des écoles ont-elles continué à pratiquer la sélection ?
Pourquoi de nombreuses orientations et redoublements ont-ils eu lieu en cette période de pandémie, alors que la consigne était de rendre le redoublement exceptionnel ? Pour les enseignants qui ont connu les grandes grèves des années 1990, cette consigne était logique et leur rappelait pas mal de souvenirs. 1996-1997 a vu le taux de redoublement diminuer drastiquement parce que l’année avait été écourtée (voir ci-dessous).











