Nous recherchons des bénévoles qui veulent agir pour les Droits de l’Enfant en Fédération Wallonie-Bruxelles. Vous avez quelques heures de libres en journée ? Rejoignez-nous et participez à l’orientation de notre politique d’actions collectives selon ce qui vous parle le plus : LGBTQI+, école, primo-arrivant.e.s, santé/environnement, inclusion ou égalité de genre.

Les Droits de l’Enfant sont importants pour vous ?
Vous êtes heurté.e par les dénis de droits que vivent certains enfants ?
Votre enfant est discriminé.e ? 
Vous êtes inquièt.e pour son avenir, pour sa santé future et celle de ses futurs enfants ?
Le sort des enfants LGBTQI+ ou demandeurs d’asile vous interpelle ?
Vous pensez que seule une société inclusive permettra l’accueil de toutes les différences?
Les inégalités de genre vous choquent ?

J’imagine le rôle des défenseur·e·s des droits humains comme très intense : « marcher, protester, travailler à l’organisation des Nations Unies ». Cependant, quand on y réfléchit, c’est par les petites actions du quotidien qu’on peut soutenir les grands efforts et, c’est à ce moment-là qu’on réalise qu’on en est effectivement un·e [un·e défenseur·e]“

(Enfant défenseur·e des droits fondamentaux – Amérique latine et Caraïbes).

Pour dépasser une épreuve difficile et/ou résoudre un problème collectif, l’action d’un seul individu, des seul·e·s militant·e·s et professionnel·le·s n’est pas suffisante.

C’est par le partage collectif d’expériences, de ressources, de questions et de savoirs singuliers et quotidiens que nous pouvons construire un environnement plus inclusif, égalitaire et juste, pour les enfants d’aujourd’hui et les adultes de demain.

C’est en mettant en commun les richesses de nos vécus que nous pouvons nous organiser et (re)définir les enjeux autour desquels évoluer mutuellement. 

C’est là que la raison d’être d’une « Ligue » prend vie : permettre le rapprochement de personnes qui, par l’échange de leurs histoires, efforts et souhaits de changement, rendent possible l’atteinte d’objectifs communs.

C’est n’est qu’avec et par votre collaboration que la Ligue des droits de l’enfant peut accomplir sa mission et (re)placer la concrétisation des droits fondamentaux au cœur de la mobilisation communautaire.

Nous avons le souhait de structurer cette participation par des groupes de réflexion et de travail. Les intitulés que nous avons pré-identifiés sont à ce stade purement indicatifs.

La Ligue compte bien évidemment sur vous pour en définir la forme, les contenus, l’organisation, la périodicité et en délimiter le champ, si nécessaire. Vous êtes des parents, des tuteur·rice·s, des professionnel·le·s de l’enfance, des ancien·ne·s enfants touché·e·s par une problématique ou vous avez tout simplement une thématique et/ou un « droit » qui vous tient à cœur :

Contactez-nous et échangeons sur cela : 02 465 98 92 ou contact[at]liguedroitsenfant[point]be ou encore Hunderenveld, 705 à 1082 Berchem Sainte-Agathe

Nous espérons pouvoir concrétiser ces commissions qui s’entrecroisent, par des événements grand public (colloques, tables rondes, etc.) qui feront remonter votre parole mais surtout celle des premie·ère·s concerné·e·s : les enfants.

NOS GROUPES DE TRAVAIL

  • Commission « LGBTQI+ »

Les droits fondamentaux ne sont pas garantis lorsque les adultes ne sont pas sensibilisé·e·s à collaborer avec les enfants pour la construction d’une société inclusive où : “son apparence, sa tenue et/ou son comportement « singuliers » ne sont pas condamnés ; son genre est respecté et surtout reconnu. Ils sont garantis lorsque « être ce que vous êtes » ne devient pas une erreur“ (Enfant défenseur·e des droits fondamentaux – Amérique latine et Caraïbes). Comment pouvons-nous mieux former les citoyen·ne·s responsables, actif·ve·s, critiques et solidaires (CRACS) d’aujourd’hui et de demain ?

  • Commission « École et Éducation »

L’école est trop souvent la « fabrique de l’irrémédiable » pour de nombreux enfants, en particulier celles et ceux qui appartiennent aux milieux les plus défavorisés. Les échecs, le redoublement, les orientations abusives et le décrochage ne font qu’amplifier les inégalités structurelles. Notre système scolaire est inefficace et considéré comme le pire élève de l’OCDE en la matière. Comment porter la lutte contre l’échec scolaire ?

  • Commission « Jeunes primo-arrivant·e·s et MENA »

Ces acronymes correspondent à des catégories administratives qui cachent une identité et une condition humaine particulières : celles des enfants qui ne sont pas toujours traité·e·s et considéré·e·s comme les autres et qui, souvent, n’ont simplement jamais joui « du droit d’avoir des droits ». Où passent leurs rêves et leurs projets ?

  • Commission « Santé et Environnement »

Il faut sauver la planète. Il faut surtout qu’elle soit accueillante pour les générations futures. L’environnement, dans notre pays, est pollué par des pratiques agricoles basées sur la pétrochimie. Nos aliments sont chargés de produits chimiques qui sont un risque à long terme pour la santé. Que pouvons-nous faire pour rétablir un meilleur équilibre de vie pour tou·te·s ? Comment protéger aujourd’hui les générations futures ?

  • Commission « Inclusion »

Dans quelle mesure la construction d’un enseignement inclusif de qualité pourrait-elle participer à la promotion d’une société qui reconnaisse et prenne en charge tous les types de vulnérabilité : physique, mentale, comportementale, relationnelle, familiale, sociale, économique, culturelle, identitaire, etc. ? Comment bâtir une Ecole qui croit en tout.te.s les enfants ?

  • Commission « Égalité de genre »

Filles et garçons ne sont pas égaux·ales à l’école, dans certaines familles (tous milieux sociaux confondus) ou simplement dans la rue. Ces inégalités engendrent des pressions sociales qui affectent toutes les identités de genre, et empêchent les enfants et les jeunes de développer leurs plus grands potentiels et de mener des vies dont ils/elles/iels seraient maîtres. Est-ce que ce sont les stéréotypes de genre qui influencent les pratiques éducatives ou est-ce que ce sont plutôt ces dernières qui renforcent les premiers ? Comment sortir de ce cycle complexe ?

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