Même si la Convention internationale des Droits de l’Enfant leur donne les mêmes droits, les filles et les garçons rencontrent souvent des difficultés différentes pour pouvoir en bénéficier. Notre pays voit reculer le niveau de l’égalité de ces droits, le plus souvent au détriment des filles et des femmes.

L’article 1 de la Déclaration universelle des Droits humains (dite des Droits de l’Homme), déclare que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité » . Dès lors, tant les femmes que les hommes, tant les filles que les garçons sont  libres et égaux en dignités et en droit et ces droits ne peuvent être contestés ou remis en cause.

Cette liberté et cette égalité ne sont pas négociables, pas même via de prétendus « aménagements (ir)raisonnables ». Elles doivent être défendues sans distinctions aucunes, au-delà des genres, des origines sociales, culturelles ou religieuses. En aucune manière, il n’est acceptable de faire quelque distinction que ce soit entre filles et garçons, que ce soit sur un plan culturel, religieux, politique, familial ou autre.

Il ne peut être fait de différence en matière d’égalité des chances, de respect de l’intérêt supérieur, de l’intégrité physique ou psychologique, ou de traitement, entre filles et garçons. Que ce soit au sein des familles, à l’école, dans les mondes culturel, associatif, politique, religieux, ou par des services publics et dans le secteur privé.

A ce titre, la Ligue a pris des positions claires

Pour le respect des Droits de femmes à avorter.

Contre le voile islamique.

Malheureusement, nous devons constater que les enseignants n’ont plus les moyens de faire leur métier d’éducateur. Certains sujets – et le voile en est l’exemple type – ne peuvent plus être abordés, tant la pression des fasciste islamistes (salafistes, frères musulmans …) conditionne certains jeunes abandonnés par le monde scolaire et en décrochage au sein même de l’institution scolaire qui est sensée en faire des citoyen·ne·s réfléchi·e·s et éduqué·e·s. L’échec scolaire fait le lit des fascislamistes.

Lire ici notre position. 

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