De quoi parle-t-on ?

La plupart des aliments préparés ou préemballés que nous achetons contiennent des additifs alimentaires, parfois en grand nombre. Ils peuvent avoir des effets extrêmement néfastes pour notre santé. Certains sont cancérigènes, d’autres sont des perturbateurs endocriniens, d’autres enfin sont susceptibles de provoquer des troubles neurologiques.

Pour se rendre compte de la quantité d’additifs qui sont mélangés aux aliments que nous achetons, il suffit de jeter un œil sur la liste des ingrédients imprimée, souvent en tout petit et qui se trouve sur l’emballage. Dans cette liste on trouve généralement une série de numéros commençant par un E (Par exemple, le E102 est la Tartazine qui est suspectée de provoquer des troubles du comportement et de l’attention chez les enfants[1]. Ou le E150c, le Caramel ammoniacal, caramel issu de sucres chauffés en présence d’ammoniaque, qui est un colorant brun et est suspecté d’être cancérigène[2]). Les consommateurs, commençant à se méfier de la liste des E, ont parfois poussé les fabricants à éviter d’inscrire les additifs par leur classification européenne.

Leur imagination n’ayant pas de limites et pour ne pas dégoûter les consommateurs de leurs produits les a conduits à inscrire le nom scientifique de l’additif qui, la plupart du temps, ne dit rien aux consommateurs. Comme, par exemple, le Carboxyméthylcellulose qui ne vous dira sans doute rien et c’est bien ce qu’ils espèrent. Dans la liste des E, il occupe le rang 466 et est suspecté d’être cancérigène, inflammatoire et de perturber le macrobiote intestinal[3]. Et, pour mieux noyer le poisson, il sera référencé différemment selon les fabricants, sous diverses appellations : Gomme cellulosique, CMC sodique, CMC, Carboxyméthylcellulose sodique, Carboxyméthylcellulose de sodium Carboxyméthylcellulose, ou encore Carboxyméthyl-cellulose sodique. Juste de quoi se foutre « un peu » de la santé des consommateurs et des plus petits en particulier. Nous verrons, dans un prochain article, que les enfants sont plus à risques que les adultes.

Quand la substance est naturelle, le fabricant utilise simplement le nom (ex : « rouge de betterave ») mais quand il s’agit d’un produit chimique au nom rébarbatif et peu engageant, comme le diméthylpolysiloxane, un dérivé du silicone qui sert d’agent moussant dans les jus de fruits, les confitures, les vins ou le lait en poudre, il préfère indiquer le numéro, en l’occurrence E 900. La plupart des additifs alimentaires disposent d’une dose journalière acceptable, preuve s’il en était besoin qu’ils ne sont pas inoffensifs[4] .

Tous les additifs alimentaires qui sont intégrés à la nourriture ultratransformée qui nous est vendue sont autorisés par l’Union européenne et ce, qu’ils soient inoffensifs ou considérés comme dangereux pour la santé. La lettre E qui précède les numéros d’additifs en est la preuve. Il peut, cependant arriver qu’un additif ne soit pas approuvé par l’Union européenne mais soit utilisé dans un pays de l’Union. Dans ce cas, son numéro n’est pas précédé d’un E. L’objectif de la certification européenne n’est nullement de (tenter) de préserver la santé des consommateurs, mais uniquement de permettre aux industriels de vendre une nourriture de piètre qualité à un prix compétitif, et donc de maximiser leurs bénéfices. En effet, un plat ultratransformé fabriqué en Espagne doit pouvoir voyager au travers de toute l’Europe durant plusieurs jours et être encore vendable durant plusieurs semaines dans le nord de la Finlande.

Le nombre de cancers en explosion en Europe n’a aucune importance pour la Commission européenne, ses membres ont les moyens financiers pour nourrir leur famille d’aliments bios de qualité.

Aujourd’hui, il existe plus de 300 additifs autorisés en alimentation. Une centaine parmi eux sont pourtant décriés pour leurs effets sur la santé, surtout sur un organisme en pleine structuration comme celui d’un enfant, plus sensible à son environnement et à sa nourriture. Si les additifs alimentaires sont interdits dans les produits pour les bébés, ils restent autorisés et souvent utilisés dans les produits pour enfants et adolescents[5].

Origine des additifs alimentaires

Cette origine n’est pas récente. Depuis toujours l’Humain a cherché à conserver le fruit de ses récoltes. Il a commencé par utiliser le sel ou la fumée pour conserver la viande et le poisson. Ce furent les premières introductions de substances étrangères à la nourriture. Les Egyptiens eurent l’idée d’introduire des arômes et des colorants pour en augmenter l’appétence et les romains ajoutèrent du Salpètre et des épices afin d’améliorer l’apparence de leurs plats[6].

Les colorants et arômes naturels, tel le safran, la cochenille ou le curcuma ont été utilisés depuis des siècles afin d’améliorer l’aspect et varier la flaveur des préparations culinaires[7]. Les premiers colorants synthétiques ne sont apparus qu’à la fin du 19ème siècle avec le jaune de quinoléine (1882)[8], aujourd’hui interdit aux Etats-Unis, en Australie et en Norvège dans les produits alimentaires pour les risques d’allergie qu’il présente mais autorisé en Europe sous le label E104. 

C’est après la Deuxième Guerre mondiale qu’a commencé l’utilisation à grande échelle des additifs alimentaires dans toute l’industrie agro-alimentaire. Pour répondre à l’accroissement accéléré de la population, au développement de l’urbanisation, du niveau de vie, cette industrie s’appuie sur des savoir-faire et des technologies de plus en plus pointus où les additifs alimentaires jouent un rôle important[9].

Qu’est-ce qu’un additif alimentaire et quelle est son utilité?

Selon la définition adoptée par l’Union Européenne, « on entend par additif alimentaire toute substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l’alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l’adjonction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, traitement conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement être estimée avoir pour effet qu’elle devient elle-même ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant de ces denrées alimentaires »[10]

Pour faire plus concis et plus clair, un additif alimentaire est une substance naturelle ou chimique qu’on ajoute dans une alimentation, généralement pour augmenter sa durée de conservation ou son « aspect » appétissant[11].

Il existe 3 catégories principales d’additifs alimentaires : ils peuvent être naturels, artificiels ou de synthèse. Chacune de ces catégories se divisent en plusieurs familles répondant à une fonction précise :

Les colorants, qui comme leur nom l’indique, modifient la couleur des aliments (comme l’extrait naturel de betterave ou la Tartrazine déjà citée plus haut qui est un colorant jaune obtenu par synthèse chimique). Les arômes artificiels peuvent remplacer pratiquement tous les arômes naturels ;

les rehausseurs (ou exhausteurs) de goûts qui ne changent pas le goût, mais en rehausse la saveur (le sel, le poivre ou le citron, ou le E621, le glutamate de sodium qui est le plus utilisé et est une neurotoxine qui peut créer des lésions dans une région du cerveau très importante pour le contrôle des fonctions endocriniennes, entraînant des troubles du comportement, des dysfonctionnements du système sexuel et l’obésité. Le glutamate ne présente que des risques et, malheureusement, il est ingéré massivement par des millions d’enfants et de femmes enceintes.[12]) ;

Les édulcorants à fort pouvoir sucrant, appelés aussi « faux sucres » ;

Les conservateurs qui empêchent le développement de micro-organismes pathogènes (bactéries, virus) ou réduisent la quantité d’eau disponible à leur développement. Ils permettent aux aliments de rester comestibles et beaux plus longtemps[13] ;

– Les antioxydants (ou antioxygènes) qui freinent les réactions d’oxydation (le « brunissement ») ;

– Les agents de texture qui transforment les aliments, comme des épaississants, de la gélatine, des émulsifiants, des stabilisants.

On retrouve parfois des mentions type « arômes » sur les étiquettes de nos aliments. Il s’agit aussi d’additifs alimentaires.

Les additifs alimentaires n’ont pour seul objectif que de faire du bénéfice. Peu d’aliments ultratransformés resteraient sur le marché si on n’y ajoutait pas des conservateurs et autres perturbateurs endocriniens. L’important est bien de faire du chiffre d’affaire tout en se « foutant » complètement de la santé des consommateurs et – nous le verrons plus loin – des enfants en particulier.

L’offre d’aliments ultratransformés réduit la diversité culinaire des consommateurs, les incitant à manger des plats pauvres en qualité et peu variés, alors que l’art culinaire est riche de millions de recettes différentes, qui ne sont bonnes que si elles ont été préparées avec des ingrédients de qualité et sur la cuisinière familiale. Loin de réduire le choix des aliments, la disparition des aliments ultratransformés l’augmenterait. En effet, c’est l’offre d’aliments ultratransformés qui est réduite. Il suffit de parcourir les rayons des grandes surfaces. Même si elle peut paraître importante, elle ne représente qu’une variété limitée de plats ou d’aliments.

Ces additifs sont loin d’être tous indispensables et inoffensifs : nombre d’entre eux sont uniquement utilisés pour tromper le consommateur tant sur la quantité que sur la qualité réelle des ingrédients utilisés. Les colorants par exemple ne sont même pas nécessaires sur le plan technique[14].

Quels effets les additifs alimentaires peuvent-ils avoir sur notre santé ?

Les cocktails d’additifs alimentaires se retrouvent essentiellement dans la nourriture ultratransformée.Celle-ci, selon une étude scientifique française[15] présenterait un sur-risque de développer un cancer. L’étude a porté sur 104 980 participants qui ont été suivis durant 8 ans. Au cours de ces années, 2 228 cas de cancers ont été diagnostiqués. L’étude a permis de constater qu’une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultratransformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier. Le fait que la nourriture ultratransformée soit généralement de très mauvaise qualité n’explique pas à elle seule une telle augmentation. Les additifs ajoutés au cours du process industriel, les substances qui se forment durant celui-ci et les emballages en contact avec la nourriture sont suspectés d’être impliqués dans cette relation de cause à effet, même si cette dernière reste à démontrer, d’autres études étant nécessaires pour mieux comprendre l’impact qu’ont les différents facteurs (composition nutritionnelle, additifs alimentaires, contaminants néoformés et matériaux de contact).

Dans son numéro de novembre 2018, la revue Que Choisir[16] affirmait que sur les plus de 300 additifs autorisés, 25% étaient suspects et donc à éviter ou peu recommandables (en réalité, la liste reprend les 87 additifs les plus problématiques). De son côté, la revue 60 millions de consommateurs[17] dressait une liste de 50 additifs à proscrire car pouvant poser de graves risques à la santé. Leurs effets sont classés en 10 catégories (mais certains additifs cumulent plusieurs risques) : allergisant, cancérogène, diabétogène, perturbateur endocrinien, inflammatoire, perturbateur du macrobiote intestinal, soupçonné de provoquer des troubles neurologiques, des troubles du comportement ou de l’attention chez les enfants, pouvant contenir des nanoparticules ou provoquer des maux de tête, des rougeurs ou une prise de poids.

Une étude espagnole, réalisée par Maira Bes-Rastrollo (Université de Navarre, Pampelune, Espagne) et publiée dans le British Medical Journal en mai 2019 s’intéressait à la relation entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le risque de décès en général[18] : Les chercheurs ont découvert que ces aliments, lorsqu’ils étaient consommés plus de 4 fois par jour) provoquaient un risque accru de mortalité (toutes causes confondues) de 62 % comparativement à un groupe qui en mangeait moins de 2 fois par jour. Plus largement, l’étude a observé que chaque nouvelle portion journalière supplémentaire d’aliments ultra-transformés, augmentait le risque de mortalité de 18 %.

Toujours dans le même British Medical Journal, une autre étude menée par des chercheurs de l’Inserm, de l’Inra, de l’Université Paris 13 et du Cnam souligne une augmentation du risque de maladie cardiovasculaire. L’étude relevait ainsi 1.409 cas sur les 105.159 participants – et en particulier de maladies coronariennes (665 cas) et de maladies cérébro-vasculaires (829 cas). Plus largement, l’étude établit qu’une augmentation absolue de 10% de la part d’aliments ultra-transformés dans le régime était associée à une augmentation de 12% de risque de maladies cardiovasculaires au global (13% pour les maladies coronariennes et 11% pour les maladies cérébro-vasculaires)[19].

Les allergies sont en forte augmentation depuis 10 ans. En Australie, par exemple, 10% des enfants seraient touchés. Une nouvelle étude présentée le 8 juin 2019 lors du 52e Congrès annuel de la Société européenne de gastroentérologie, hépatologie et nutrition pédiatriques (ESPGHAN) vient peut-être de trouver un coupable : les produits terminaux de la glycation (AGE en anglais pour Advanced Glycation End products), des composés issus de la réaction entre un sucre et une protéine qui se forment lors de la cuisson des aliments (réaction de Maillard). C’est cette dernière qui donne leur belle couleur dorée au pain, aux biscuits et aux produits de pâtisserie. Mais on trouve aussi des AGE dans tous les aliments frits comme les chips, les frites, les gratins, les viandes rôties, le café ou le cacao (qui sont torréfiés). Les AGE sont naturellement fabriqués par notre corps, mais ceux issus de l’alimentation viennent s’y rajouter. Or, plusieurs études ont montré le rôle de ces AGE dans le développement du diabète, de l’athérosclérose ou des maladies neurodégénératives[20].

Mais les scientifiques sont divisés sur la question. Cependant, les aliments utratransformés peuvent contenir plus d’une quinzaine d’ingrédients qui sont autant à risques de déclencher une réaction allergique. Les traitements industriels provoquent des mutations de molécules « naturelles » inoffensives en protéines allergisantes. Enfin, l’association de différents produits peut aussi faire apparaître de nouveaux allergènes ou des réactions croisées. Ainsi, une étude réalisée en 2003 par des chercheurs anglais a prouvé que mélanger du lait de soja avec de la cacahuète multiplie par 2,6 le risque d’allergie à la cacahuète[21].

Une prise de conscience lente à démarrer

Une prise de conscience timide émerge dans la société. Elle ne concerne encore que les citoyens qui ont les capacités de s’informer et d’agir, mais c’est un début. Un bon exemple de la mobilisation citoyenne et associative est la suspension « par précaution », à partir du 1er janvier 2020, de la mise sur le marché de denrées alimentaires contenant du dioxyde de Titane en France. Cependant ce dernier reste autorisé dans les dentifrices et les médicaments[22].

Ce colorant (E171 ou Ti02) qui cache sans doute la forêt des additifs dangereux a été interdit le 1er janvier 2020 : faisant partie des nanoparticules, le dioxyde de titane qui donne un aspect brillant aux bonbons ou au glaçage de certains gâteaux, serait capable de franchir les barrières physiologiques, d’accéder à certains organes comme le foie, de s’y accumuler, puis d’atteindre le sang. Cette exposition provoquerait des micro-inflammations, à l’origine de perturbations au niveau de la flore intestinale. Il jouerait aussi un rôle dans la formation de lésions précoces de cancer colorectal[23] !

Le boycott de certains additifs se met en place progressivement chez les consommateurs avertis. Il en va ainsi pour cet additif qui est sous le feu des projecteurs depuis des années : l’aspartame (E951). Celui-ci remplace le sucre dans de nombreux aliments ultratransformés. Il s’agit d’un édulcorant de synthèse (donc non naturel) dont le pouvoir sucrant est 200 fois supérieur à celui du sucre de canne. Il est composé de 3 molécules : l’acide aspartique (40 %), la phénylalanine (50%) et le méthanol (10%). Si les deux premiers sont des acides aminés que l’on trouve de manière naturelle dans certains aliments, la consommation accidentelle de méthanol (un alcool très toxique) peut entraîner la cécité et même la mort. Il est métabolisé par le foie en formaldéhyde (cancérigène pour les êtres humains). Une étude publiée en 2006, portant sur 1800 rats a démontré l’augmentation des lymphomes, leucémies et tumeurs rénales chez les femelle, ainsi que des tumeurs des nerfs crâniens chez les mâles. Il s’agit d’un agent cancérigène multisite puissant, même à une dose journalière inférieure à la DJA (dose journalière autorisée)[24].

Nombreux sont celles et ceux qui rejettent les produits contenant de l’aspartame, préférant des alternatives plus respectueuses de la santé, telles la stevia, au point que de nombreux fabricants ont largement communiqué sur le fait qu’ils bannissaient l’aspartame de certaines de leurs boissons. Si une part d’entre eux utilisent de la stevia, d’autres ont plus d’un tour dans leur sac. Certaines marques se sont tournées vers le sucralose (E955), un édulcorant chimique comme l’aspartame, mais qui ne subit pas à ce jour de controverse médiatisée. Ce dernier est 600 fois plus sucrant que le sucre dont il emprunte une partie de son nom pour tromper le consommateur. C’est un produit de synthèse dérivé du saccharose et traité au chlore. Il est loin d’être innocent, puisqu’il peut atteindre le système immunitaire[25].

En mai 2018, le magazine 60 Millions de Consommateurs qui a répertorié les 50 additifs à proscrire, a sévèrement critiqué de nombreux additifs couramment consommés qui favorisent, entre autres, les allergies, le diabète, les troubles endocriniens, du comportement, de l’attention et même le cancer chez les enfants[26]. « Sur les plus de 300 additifs autorisés, nos travaux montrent que 87 d’entre eux sont à éviter ou peu recommandables, soit plus du quart », indique l’association, qui dénonce leur « présence massive, y compris dans les produits de grandes marques ».

En effet, il s’avère que nous mangeons malgré nous tellement d’additifs chaque jour que la DJA[27] est souvent dépassée : les additifs étant présents dans quasiment tous les aliments transformés ou préparés industriellement, il est difficile d’y échapper. Il ne faut pas perdre de vue non plus l’effet cocktail, c’est-à-dire les réactions liées à l’ingestion de plusieurs additifs en même temps ou sur une courte période, dont les résultats sont encore plus mal maîtrisés[28].

Pour lire la suite de l’analyse : Les enfants sont les premières victimes des additifs « alimentaires » cliquer ici.


[1] 60 millions de consommateurs 1255, mai-juin 2018

[2] 60 millions de consommateurs 1255, ibid.

[3] 60 millions de consommateurs 1255, ibid.

[4] Marie-Monique Robin, Notre poison quotidien, Editions La Découverte/Arte Editions, 2011

[5] Eleni Gravière, Quand les additifs alimentaires rendent fous nos enfants,  http://elenigraviere.fr/quand-additifs-alimentaires-rendent-fous-nos-enfants/

[6] Frély Rachel, 2016, Guide des additifs alimentaires inoffensifs ou dangereux, fichier pdf téléchargeable sur https://www.fichier-pdf.fr/2016/10/10/frely-rachel-guide-des-additifs-alimentaires-inoffensif-ou-dangereux/  

[7] Dossier de l’Intitut Français pour la Nutrition (IFN), les Additifs, septembre 1998

[8] Dossier de l’IFN, les Additifs, septembre 1998, ibid

[9] Dossier de l’IFN, les Additifs, septembre 1998, ibid

[10] Règlement (ce) n° 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil  de l’Union Européenne, du 16/12/2008 sur les additifs alimentaires.

[11] Gina Tarlayan in Cosmopolitan, non daté, Les additifs alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ?

[12] Marie-Monique Robin, Notre poison quotidien, Editions La Découverte/Arte Editions, 2011

[13] Hélène Barbier du Vumont, 2011, Danger additifs alimentaires, ce que cachent les étiquettes.

[14] Test-Achats, non daté, Les additifs ajoutés aux denrées alimentaires: réglementation plus restrictive

[15] Mathilde Touvier, Bernard Srour et Serge Hercberg, The British Medical Journal, 15 février 2018.

[16] Que Choisir, ibid.

[17] 60 millions de consommateurs, Hors-série, mai-juin 2018

[18] De European Scientist – 04.06.2019, Aliments ultra-transformés : confirmation des risques pour la santé.

[19] De European Scientist, ibid.

[20] Futura santé, 16 06 2019, La malbouffe est-elle responsable du boom des allergies ?

[21] Science&Vie, 16 mai 1914, Pourquoi les allergies alimentaires sont-elles en hausse ?

[22] Le Monde, 15 avril 2019, Le dioxyde de titane interdit dans les confiseries à partir de 2020, pas dans les dentifrices ni les médicaments

[23] AVIS de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif aux risques liés à l’ingestion de l’additif alimentaire E171, Maisons-Alfort, le 12 avril 2019, page 25.

[24] Marie-Monique Robin, Notre poison quotidien, Editions La Découverte/Arte Editions, 2011

[25] Hélèbe Barbier du Vimont, 2011, Danger additifs alimentaires, ce que cachent les étiquettes.

[26] 60 millions de consommateurs 1255, ibid.

[27] La DJA ou dose journalière acceptable est une mesure de la quantité d’une substance, tel un additif alimentaire, qui peut être consommée au cours de la vie sans aucun risque notable pour la santé. Les DJA sont exprimées en milligrammes (de substance) par kilogramme de poids corporel par jour.

[28] Du poison dans votre assiette ? Utilité et risque des additifs alimentaires. Guides pratiques du consommateur. Cécile Voss. Association des consommateurs Test-achats, 2000.

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